Une rentrée active, pour le territoire

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La période de rentrée est bien souvent marquée par de nouveaux engagements. Pour moi, elle s’inscrit dans la continuité de l’action, avec une ligne directrice inflexible, défendre le Sud de l’Aisne et ses habitants.

Rentrée scolaire : la classe de maternelle est maintenue à Vailly-sur-Aisne et un poste créé à Bucy-le-Long
Bonne nouvelle en cette rentrée puisque nous avons été entendus par M. le Directeur académique. Celui-ci vient de confirmer le maintien de la classe de maternelle dont la fermeture avait été précédemment annoncée. Mobilisés, les parents d’élèves, le maire Arnaud Battefort et moi-même avions exprimé au DASEN notre volonté de préserver cette classe pour laquelle la commune avait réalisé de lourds investissements.
Par ailleurs, Thierry Routier, maire de Bucy-le-Long, a également obtenu satisfaction : le poste d’enseignant supplémentaire qu’il sollicitait pour les enfants de sa commune a été ouvert. 
Merci donc à Monsieur le Directeur pour ce dialogue constructif. 

J’ai également rencontré M. l’Inspecteur primaire pour faire le point sur la rentrée scolaire sur notre territoire. Pour le premier degré, les dédoublements des classes de CP et CE1, dans les zones prioritaires, ont entraîné la création de 9 postes de professeurs des écoles. Cette mesure apparaît essentielle pour renforcer et améliorer les conditions d’apprentissage pour nos enfants, lecture, écriture, calcul et leur donner plus de chances de trouver leur place dans la société. 
Nous sommes intervenus également pour que la réforme des AVS, Assistants de Vie Scolaire, puisse se mettre en place avec des perspectives de pérennisation de ces emplois auprès des enfants ayant un besoin de soutien éducatif.
Si des difficultés apparaissent, n’hésitez pas à nous en faire part. 

Je me rendrai dans les établissements scolaires, comme je le fais chaque année, pour rencontrer les équipes et participer à la formation des esprits citoyens, notamment en accueillant les écoliers, les collégiens et les lycéens à l’Assemblée nationale pour leur permettre de mieux connaître le fonctionnement des institutions républicaines.
Plus largement, nous devons porter comme une priorité le renforcement de l’éducation et de la culture qui n’ont rien à voir avec le divertissement et les loisirs. L’émancipation des individus ne peut se réduire à une simple consommation de spectacles. 

Réhabilitation de l’hôpital de Château-Thierry et des urgences
Ainsi, j’ai interpellé le Président de la République et la Ministre des Solidarités et de la Santé sur la situation de l’hôpital de Château-Thierry. Avec les équipes du centre hospitalier, nous continuons de porter le projet d’un réaménagement des espaces qui doit s’articuler autour de la réhabilitation du service des urgences. C’est la première des priorités, comme l’explique mon courrier au Président et à la Ministre, ci-dessous.
Nous attendons des réponses à cette demande légitime et des rendez-vous avec la ministre et le directeur général de l’ARS.

“Monsieur le Président,

Je me permets d’attirer votre attention sur la situation du centre hospitalier Jeanne de Navarre de Château-Thierry, dans l’Aisne. 
Vous aviez vous-même pu le constater, lors de votre visite dans cet établissement en octobre 2016, notre hôpital nécessite une modernisation urgente afin de répondre aux besoins en termes d’accès aux soins pour les habitants du Sud de l’Aisne.
Ainsi, en l’état actuel des choses, comme dans de nombreuses villes de France, le service des urgences, dimensionné pour 10 000 patients par an, en accueille près de 27 000 aujourd’hui. Il s’avère particulièrement inadapté, les conditions de travail des personnels comme d’accueil des patients sont absolument indignes : extrême vétusté des locaux, absence de sanitaires accessibles aux personnes à mobilité réduite, flux d’entrée et de sortie par le même accès. Et je ne veux pas ici m’étendre sur les difficultés rencontrées par les personnels soignants, (salaires, reconnaissance sociale, effectifs, etc…). Je peux saluer leur engagement professionnel et humain sans faille. Bien qu’en grève, ils continuent d’assurer un service indispensable pour la santé et la sécurité de la population. 
Au-delà de ces aspects, je veux surtout insister sur l’impérieuse nécessité de réhabilitation des locaux du service des urgences. Cette restructuration est indispensable : depuis 40 ans, rien n’a pratiquement changé !
Ce projet de réhabilitation, qui date de 2017, s’inscrit dans une démarche de schéma directeur proposé par Monsieur Bruno Rossetti, architecte au CHU de Lille et qui travaille avec notre Premier Ministre Edouard Philippe. Ce schéma directeur fait de la rénovation des urgences le centre de gravité d’un réaménagement plus fonctionnel de notre hôpital, avec une optimisation des espaces actuels. Ce projet peut être mis en œuvre par phases successives pour rendre financièrement supportables les dépenses d’investissement.
J’ai personnellement fait parvenir ce projet à l’Agence Régionale de Santé des Hauts-de-France, ainsi qu’aux collaborateurs de Madame la Ministre de la Santé et des Solidarités. 
Grande fut notre surprise de découvrir que ce projet n’avait pas été proposé et donc pas validé par les instances régionales de santé.
En effet, à l’époque, nous étions en direction commune Soissons/Château-Thierry, au sein du même Groupement Hospitalier de Territoire. Le directeur, bien qu’ayant travaillé sur ce schéma directeur, ne l’a jamais présenté pour validation. 
Si cet élément a pesé pour que les instances locales, conseil de surveillance, commission médicale d’établissement et directoire, remettent en cause la direction commune, c’était aussi pour dénoncer le fait que, pendant cette période de direction commune, l’hôpital de Château-Thierry a été décapité dans le fonctionnement de ces instances administratives et a même vu son plateau technique remis en cause. 
Mais, si notre mobilisation fut sans faille pour retrouver une direction autonome, c’est surtout du fait de l’augmentation de notre déficit qui a atteint durant cette période la somme de 4,8 millions d’euros, alors que, dans le Plan de Retour à l’Equilibre, nous avions consenti à fermer 17 lits d’hospitalisation. Malgré nos demandes de renseignements, nous n’avons eu à ce jour aucune explication de l’ARS sur les raisons de l’explosion de ce déficit.
La situation est d’autant plus inacceptable que, malgré les déconvenues de cette direction commune qui s’est faite à charge de l’hôpital de Château-Thierry, les médecins comme l’ensemble des personnels se sont mobilisés. Ainsi, l’activité médicale, pas seulement aux urgences, mais plus globalement, a été en hausse de 4%. Et, par ailleurs, notre hôpital s’est saisi de l’activité chirurgicale ambulatoire comme peu d’établissements, avec un taux de chirurgie ambulatoire de 72%.
Ce sont là des faits que l’ARS Hauts-de-France ne veut pas prendre en compte. Elle se refuse à analyser les méfaits des dysfonctionnements de la direction commune et du peu de pertinence d’un petit GHT. Un groupement hospitalier avec le CHU de Reims aurait été pour nous plus cohérent et, pour notre Sud de l’Aisne, la seule perspective pertinente. 
D’ailleurs, Madame la Ministre de la Santé, lors de plusieurs échanges, en convenait. Certes, les frontières administratives sont souvent bien difficiles à franchir. Pour autant, des exemples de GHT sur deux départements, voire deux régions, existent, à l’image du GHT 21-52, Côte d’Or/Haute Marne. 
Pour ce qui est de la modernisation de notre hôpital et de son humanisation, je tiens à saluer sa proposition de prolonger la subvention de 2 millions d’euros par l’intermédiaire du FMESPP, Fonds de Modernisation des Etablissements de Santé Publics et Privés, qui, accordée depuis 2014, n’a pas pu être mobilisée du fait des problèmes de gouvernance évoqués plus haut.
C’est pourquoi nous souhaitions que ces fonds soient fléchés pour la réhabilitation des urgences, fléchage pour lequel les services de la Ministre et la Caisse des Dépôts et Consignations nous ont fait part, dans un premier temps, de leur accord.
Mais, après avis du directeur par interim de l’ARS, cela n’était plus possible. Ce changement de positionnement est d’autant plus regrettable que ces 2 millions d’euros, complétés par un soutien du fonds de modernisation des urgences envisagé par le gouvernement, sans oublier le soutien des collectivités locales, à travers la vente de propriétés foncières de l’hôpital pouvant représenter 800 000€, permettraient de disposer d’un possible financement de cette restructuration. 
Pour l’ARS, seul le déficit guide sa ligne de conduite. De ce fait, elle refuse toute perspective de réhabilitation des urgences, alors que, pour d’autres établissements hospitaliers de France, connaissant des situations financières similaires à celui de Château-Thierry, des fonds ont été débloqués et ces hôpitaux ont pu être modernisés, tout comme leurs services d’urgences. Alors, pourquoi n’est-ce pas possible pour Château-Thierry ? 
Nous ne comprenons pas la volonté de l’ARS de s’opposer à ce projet indispensable et nous ne pouvons que le déplorer. 
Le « ripolinage » qui nous a été proposé ne règlerait en rien les dysfonctionnements de fond des urgences et ne constituerait qu’une dépense inutile. 
Nous ne pouvons pas envisager les perspectives qui contribueraient à affaiblir encore notre centre hospitalier, avec par exemple la remise en cause du pôle mère-enfant ou même de notre laboratoire. Même si nous sommes conscients de la nécessité de certaines évolutions, pour nous elles ne peuvent être mises en œuvre qu’avec l’application du schéma directeur proposé qui passe en priorité par la réhabilitation des urgences. 

Il s’agirait là d’un message politique fort à adresser à nos habitants, dans un département qui souffre du sentiment de déclassement et de la perte de ses services publics, ce qui explique pour partie l’importante mobilisation des Gilets Jaunes et le vote très élevé en direction des partis extrémistes. 

Je sais toute l’attention que vous portez à nos départements ruraux et particulièrement à celui de l’Aisne. C’est pourquoi, au vu de la situation de notre hôpital, je me permets de solliciter votre arbitrage urgent, Monsieur le Président, afin que la situation de l’hôpital de Château-Thierry soit réellement, et très rapidement, analysée.
Je sais que ma demande retiendra toute votre attention. Je vous remercie d’avance de votre soutien pour résoudre enfin cette situation, avec objectivité et avec la volonté de donner un avenir pérenne au centre hospitalier de Château-Thierry, pour renforcer un service de santé publique nécessaire aux 80 000 habitants de notre bassin de vie. 

Je vous prie de croire, Monsieur le Président, à l’expression de mes sentiments les plus dévoués.”

Concertation pour le maintien des services fiscaux
Comme je m’y suis engagé avant l’été, en lien avec les élus locaux, nous travaillons à une nouvelle carte d’implantation des services fiscaux. Parce que nous tenons au maintien de services publics de qualité et de proximité sur l’ensemble du territoire, nous proposerons à la direction des Finances publiques un schéma d’implantation prenant en compte les spécificités de notre département, à forte dominante rurale, et les besoins des habitants. Deux réunions sont d’ores et déjà prévues avec l’ensemble des maires et élus de la circonscription. 

Château François 1er de Villers-Cotterêts : bientôt, début des opérations
Ce projet structurant pour notre territoire est engagé. Sous l’impulsion du Président de la République, les équipes travaillent à la conception de la Cité internationale de la langue française et, dans le même temps, les collectivités territoriales s’organisent pour faire du Château un pôle d’attractivité majeur, au service du développement culturel, pédagogique et touristique de Villers-Cotterêts, du Sud de l’Aisne et plus largement encore de notre département et de notre région. Mais avant tout, un outil de développement pour notre ruralité.
Ainsi, localement, une seconde réunion du comité technique pour la desserte multimodale du Château se tiendra dès le 17 septembre. 

Emploi et formation
Au rang des problématiques de notre territoire, l’accès à la formation et à l’emploi reste une priorité. En lien avec la CARCT et la Région des Hauts-de-France, qui assurent des compétences en matière de développement économique, nous sommes particulièrement vigilants à la préservation des activités sur le territoire. 
Ainsi, un rendez-vous se tiendra rapidement avec le directeur général du groupe Conforama pour évoquer la situation des magasins en France et celle du magasin de Château-Thierry. Nous ne laisserons pas fermer ce magasin moderne, dynamique et employant 25 personnes sans garantie ferme de reprise pour une activité similaire maintenant les emplois.
De la même façon, nous sommes aux côtés de la direction et des salariés d’Altifort-Innovatech pour veiller au devenir du site castel.
Plus largement, nous agissons pour développer l’offre de formation sur le territoire, au plus près des entreprises, afin de privilégier des recrutements locaux, comme le sollicite l’entreprise Melitta. Pour favoriser le développement des entreprises de logistique, nous demanderons l’appui de Madame la Ministre des Transports pour l’échangeur autoroutier dit du Charmel. 

TER, Transilien, ma priorité
Cet été a encore été marqué par des difficultés récurrentes en matière de transport ferroviaire. J’ai interpellé à ce sujet Vincent Lecras, directeur de la ligne P, pour solliciter une table ronde dès cette rentrée avec les acteurs du transport ferroviaire, les élus locaux et les représentants des usagers. 
Nous demandons un vrai calendrier de mesures pour enfin permettre aux usagers des lignes Château-Thierry-Paris mais aussi La Ferté-Milon-Paris de voyager dans des conditions acceptables, de ponctualité, de sécurité et l’assurance d’un service public de qualité. 
Nous sollicitons une fois encore un rendez-vous avec Madame la Ministre des Transports.

Lutter contre les féminicides et contre toutes les discriminations
Alors que s’ouvre le Grenelle contre les violences faites aux femmes mis en place par le gouvernement, je participerai aux réunions de travail organisées localement et nationalement. Nous ne devons plus accepter cette violence qui a déjà conduit à la mort de 100 femmes depuis le début de l’année, assassinées par leurs conjoints ou ex-conjoints. 
Il est du devoir de chacun de lutter contre ces violences, tout comme nous devons agir contre toutes les formes de discrimination, notamment cette homophobie qui éclate au grand jour, à tous les niveaux de notre société, et qui se déverse dans les relations privées comme publiques.
C’est pourquoi nous relayons les mesures prises dans les stades contre les chants et autres propos homophobes. Et nous appelons toutes les victimes de violences et de discriminations à porter plainte pour faire condamner ces actes. 

Mener une réforme des retraites équitable
Si, pour nous, il est nécessaire de mettre en œuvre une réforme pour prendre en compte les petites retraites, c’est surtout la durée de cotisation qui importe. Nous avons déjà interpellé M. Delevoye sur des interrogations concernant certaines professions et nous organiserons prochainement des réunions sur la circonscription sur ces sujets essentiels en matière de cohésion sociale. 

Lutter contre le réchauffement climatique
Comme nous l’a démontré une nouvelle fois cet été caniculaire, cette lutte est aussi l’affaire de chacun d’entre nous. Elle passe par des actions globales mais aussi plus locales.
Ainsi, nous devons prendre en compte les problématiques en matière hydrique rencontrées par les agriculteurs. C’est pourquoi nous organiserons rapidement une réunion en lien avec l’Agence de l’Eau pour envisager le stockage des eaux hivernales en vue de favoriser notre agriculture sans priver la consommation humaine. 
Nous pouvons d’ores et déjà nous féliciter que la distribution de l’eau potable se fasse sans difficulté au départ de l’usine de prise d’eau en Marne à Chézy-sur-Marne, gérée par l’USESA. Cette solidarité se concrétise avec une interconnexion réalisée vers le Nord de l’Aisne. 
Par ailleurs, dans cette même optique, nous devons favoriser la plantation d’arbres lors de tout aménagement, afin de prendre en compte, en milieu rural et surtout en milieu urbain, la végétalisation des espaces pour préserver ombre et fraîcheur. 
De la même façon, l’utilisation des énergies renouvelables doit guider notre action lors de projets de création ou de réhabilitation de bâtiments. Au-delà de l’éolien, nous devons envisager d’autres sources de productions énergétiques, en particulier le photovoltaïque., l’hydrolien et la méthanisation. 

Porter le rassemblement pour faire progresser le territoire et lutter contre les sectarismes
Les récentes commémorations de la libération de nos communes lors de la Seconde Guerre Mondiale nous l’ont rappelé une nouvelle fois : c’est la force du rassemblement qui permet d’agir efficacement. 
Pour se libérer du joug nazi en 1944, Résistants et Alliés ont su se rassembler et porter un idéal commun, au-delà de tout enjeu personnel. Parce que la liberté ne va pas de soi mais dépend de l’engagement et des efforts de chacun, nous devons savoir, 75 ans après, porter ce même message de rassemblement pour faire vivre la paix localement, nationalement et partout dans le monde.
Comme je l’ai toujours fait, j’appelle au rassemblement en vue des prochaines échéances électorales. Ce qui fait la force de notre Sud de l’Aisne, c’est sa capacité à se rassembler, au-delà des étiquettes politiques, pour porter les projets de développement. Ce qui est important, c’est d’avoir une vision pour nos sociétés et pour nos communes, dans l’intérêt unique des citoyens.

Lutter contre les injustices sociales et défendre le droit
C’est une nécessité et c’est pourquoi défendre les droits des salariés victimes d’injustices est tout autant une nécessité. Mais nous ne devons pas confondre la défense des droits et les volontés de règlement de comptes, comme c’est le cas avec le jugement des prud’hommes diffusé dans la presse et pour lequel j’ai fait appel, pour rappeler que l’ancien directeur de cabinet a été licencié pour fautes lourdes, sans aucune indemnité de licenciement.
Pour ma part, je suis serein et le moment venu, sans polémique, je vous tiendrai informés des tenants et des aboutissants de ce dossier que certains veulent agiter à la veille des élections. 

Défendre le droit, c’est aussi soutenir les maires et les élus insultés, menacés, violentés. Nous l’avons vécu très tristement cet été avec le décès dans l’exercice de ses fonctions de Jean-Mathieu Michel, maire de Signes. 
De telles atteintes sont inadmissibles et je serai toujours aux côtés des élus qui peuvent subir ce genre de violences. Je les invite à déposer plainte à chaque fois que cela pourra se produire, comme certains l’ont déja fait. Tout comme nous ne saurions accepter les actes volontaires de dégradations, de vandalismes contre des bâtiments publics ou privés, ou les permanences d’élus, comme ça a pu être le cas dans notre circonscription aussi. Ces actes de violence sont des atteintes inadmissibles à la démocratie et à la liberté d’expression. 

Faire société par le sport et ses valeurs
Nous avons partagé une très belle édition du Triathlon de l’Omois. Si, à titre personnel, j’ai réalisé ce triathlon pour la 27èmeannée consécutive, avec un plaisir constant, je veux particulièrement remercier les organisateurs de cette manifestation sportive populaire de qualité. Elle rassemble des jeunes, des moins jeunes, des hommes, des femmes, valides comme personnes handicapées, des sportifs de haut niveau, mais aussi des sportifs occasionnels. 
C’est là encore par leur capacité à rassembler les énergies, les bonnes volontés et les compétences que Laurent Couvreur, président, et ses équipes réussissent à nous proposer un tel moment de sport, de vivre-ensemble et de convivialité, avec pour valeurs directrices, le dépassement de soi, le sens de l’effort et la solidarité. Tout comme l’ont fait René Mercier, président fondateur puis Guy Berthemet, qui lui a succédé à la tête de ce club que nous avons créé il y a 30 ans, l’équipe du TCO porte un bel exemple pour le sport local, avec sa capacité à former les sportifs, à transmettre des valeurs essentielles pour le bon fonctionnement de notre société. 
Merci aux organisateurs, aux nombreux bénévoles, aux équipes techniques, aux services de sécurité ainsi qu’aux communes traversées par la course, avec une dynamique portée par les maires. Tous ensemble, ils garantissent ce beau succès au bénéfice du plus grand nombre.
Avec une fierté toute particulière cette année puisque les deux vainqueurs du triathlon sont deux jeunes Castelthéodoriciens, Guillaume et Victor Macq, sans oublier que leur sœur Marie est sur la sur la 3èmemarche du podium et 1èrede l’Aisne. C’est dans notre ville qu’ils se sont formés. Bravo à eux et félicitations à l’ensemble des participantes et participants !
Voilà un bel exemple d’une pratique sportive qui doit faire école dans notre ville. 
Rendez-vous l’année prochaine pour mon 28èmeTriathlon à vos côtés. Merci de vos applaudissements qui sont autant d’encouragements pour que je reste aux côtés du club, des sportifs et des Castels. 

Lutter contre les injustices, les inégalités 
Le mouvement des Gilets Jaunes a permis de prendre conscience de la nécessité d’augmenter le pouvoir d’achat des citoyens et le gouvernement a mis en place des mesures concrètes, qui, certes, peuvent apparaître insuffisantes pour répondre à toutes les problématiques des Françaises et des Français. Tout n’est pas réglé et c’est pourquoi nous nous tenons à la disposition des femmes et des hommes du territoire pour faire remonter leurs attentes aux équipes gouvernementales.

Rester à votre écoute, vous conseiller, vous aider, vous accompagner
Le cycle des permanences de mon équipe et de moi-même ne s’est pas interrompu. Durant tout l’été, nous avons rencontré des citoyens confrontés à des difficultés ou souhaitant notre soutien dans leurs projets. Nous continuons de le faire à l’occasion de cette rentrée et tout au long de l’année. Vous pouvez me rencontrer lors de mes permanences en mairie de Château-Thierry le lundi et le vendredi matin, en prenant rendez-vous au 0640126056, jeanne.doyezroussel@gmail.com, ou au 0677362923, bertrand.varin@clb-an.fr 
Vous pouvez également me contacter à tout moment pour un rendez-vous sur la circonscription, ou pour échanger sur tout sujet : jacques.krabal@assemblee-nationale.fr, 0624034488. 
N’hésitez pas, nous sommes à votre écoute.

A toutes et à tous, je vous souhaite une bonne rentrée et une année épanouissante, constructive et fructueuse.