Paysages de Champagne à l’UNESCO

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Question N° : 4737 de M. Jacques Krabal ( Radical, républicain, démocrate et progressiste – Aisne ) Question écrite
Ministère interrogé > Artisanat, commerce et tourisme Ministère attributaire > Culture et communication
Rubrique > organisations internationales Tête d’analyse > UNESCO Analyse > patrimoine mondial. paysages champenois. classement
Question publiée au JO le : 18/09/2012 page : 5064
Date de changement d’attribution : 25/09/2012

Texte de la question

M. Jacques Krabal interroge Mme la ministre de l’artisanat, du commerce et du tourisme sur la candidature des « paysages de Champagne » à l’inscription au patrimoine mondial de l’Unesco. Des sites viticoles majeurs sont inscrits au patrimoine mondial depuis 1992 ; la Champagne, par son histoire et ses paysages de coteaux, n’est pas un site viticole classique. Le vin de Champagne, mondialement reconnu, possède une valeur économique et symbolique forte, à la fois produit de luxe et de terroir, il participe au rayonnement international de la France. De cette démarche de l’association Paysages de Champagne, une nouvelle dynamique touristique est attendue, ainsi que la reconnaissance mondiale de l’identité champenoise. Le 21 septembre 2012, le dossier de candidature des « coteaux, maisons et caves de Champagne » sera déposé au Centre du patrimoine mondial et, en janvier 2013, le Gouvernement se prononcera sur les deux candidatures françaises à l’Unesco. Suite au soutien affiché du Président de la République dans son discours d’ouverture de la foire de Châlons-en-Champagne le 30 août 2012, il l’interroge sur les actions envisagées par le Gouvernement pour défendre et mettre en valeur la candidature champenoise à l’Unesco.
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Jacques Krabal est député de l'Aisne et maire de Château-Thierry. Il siège à l'Assemblée nationale depuis juin 2012. Il est membre de la commission du développement durable et de l'aménagement du territoire. En tant qu'invité à la Conférence environnementale de septembre 2012, il a été invité à se prononcer au sein du Comité pour la Fiscalité Ecologique (CFE). Il est président du groupe d'études "papier et imprimés".